Extraits de la lettre de
Simone Wapler.
27 mai 2019 - Le Jour de la
grande « Remise à Zéro »
... des marchés boursiers
mondiaux
... du système bancaire et
financier
... du monde tel que vous
le connaissez, et...
... de votre compte en
banque
Voici comment vous
protéger de ce bouleversement politique qu'on n'avait plus vu en France depuis
1812...
Avez-vous parfois le
sentiment – en dépit de la soi-disant reprise économique tant vantée dans la
France "en marche" – qu'il y a quand même encore quelque chose qui ne
va pas dans notre pays ?
Si oui, vous n'êtes pas
seul.
Après tout, comment les
choses peuvent-elles "bien aller" alors que près de la moitié des
jeunes Français de 18-29 ans vivent désormais chez leurs parents – un niveau en
augmentation régulière depuis les années 1970 ?
Comment la situation
peut-elle être "normale" quand 66% des Français ont peur de
l'avenir...
... Que leurs retraites
vont progressivement être réduites – dès 2020 –, pour finalement atteindre à
peine la moitié du salaire qu'ils percevaient durant leur vie active...
... Tandis que 46% d'entre
nous, selon des recherches du ministère des Affaires sociales, pensent que leur
situation s'est dégradée par rapport à celle de leurs parents... et que 73% ont
peur pour l'avenir de leurs enfants ?
Comment peut-on avoir une
"reprise" lorsque les deux tiers de la population ont en fait du mal
à joindre les deux bouts... alors que 75% de nos compatriotes ne peuvent pas
épargner plus de 100 € par mois ?
Comment expliquer des
choses comme l'augmentation radicale des militants de gauche type La France
insoumise... et des élections présidentielles où les trois candidats aux idées
les plus extrêmes ont remporté près de la moitié des suffrages ?
Bien sûr, certains – les
PDG, les élites de la banque et de la finance, les entrepreneurs high tech et
autres membres des "1%" – s'en tirent très très bien.
Jamais les riches ne se
sont aussi bien portés.
Mais la vérité, pour la
plupart des gens, c'est que la situation est en train de devenir pire – bien
pire.
Aujourd'hui, j'aimerais
partager avec vous quelques faits que nos politiciens ont peur de vous dire :
la raison secrète pour laquelle les Français de la classe moyenne se sont
radicalement appauvris ces 40 dernières années... et pourquoi cette tendance va
s'aggraver dans les années qui viennent.
Je n'ai jamais vu ces
informations publiées ailleurs.
Ce secret explique
pourquoi les riches deviennent en fait beaucoup, beaucoup plus riches... tandis
que pour tous les autres, on "travaille plus pour gagner moins", et
le niveau de vie recule.
Une fois que vous
comprendrez ce secret, vous verrez pourquoi, pour des millions de Français, une
crise politique et financière majeure se prépare...
... Et elle se déclenchera
peut-être dès le 27 mai 2019.
Je parle d'un
bouleversement qui ne s'est pas produit, pour notre pays, depuis 1812.
Il "remettra à
zéro" le système financier mondial.
Le bouleversement
atteindra une ampleur que la plupart des Français ne peuvent même pas imaginer
– et pour la plupart, ce sera un cauchemar pur et simple.
Le secret que je vais
partager avec vous dans les lignes qui suivent protège les très riches et les
très puissants.
Inutile de compter sur eux
pour vous en parler, donc.
Mais je vais vous
l'expliquer de manière aussi claire et simple que possible dès maintenant...
Pourquoi est-ce qu'autant
de gens sont autant en colère ?
SimoneWapler
…………………………………..
Je m'appelle Simone
Wapler.
Vous ne me connaissez
peut-être pas : je suis Directrice des Rédactions aux Publications Agora et
Rédactrice en Chef du service La Stratégie de Simone Wapler.
Je suis également l'auteur
de quatre livres épluchant la situation de notre pays et la santé du système
financier mondial.
Les Publications Agora
font partie d'un réseau mondial de recherches et de conseils financiers, qui
possède des bureaux à Paris, à Londres, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Chine
et dans le reste du monde.
En France, nous ne
comptons pas moins de 283 044 lecteurs.
Près de 40 employés
travaillent dans les bureaux, dont des spécialistes reconnus de la cote
française.
Nous comptons aussi dans
notre réseau des traders à l'international, un ex-initié de la CIA... et de
nombreux autres experts de la finance et du patrimoine.
Mais ce qui fait de nous
un cas vraiment à part dans le secteur financier, c'est notre indépendance.
Nous ne sommes pas
gestionnaires de fonds.
Nous n'acceptons pas de
publicité extérieure dans nos pages.
Nous ne sommes donc pas
pieds et poings liés – contrairement aux grands médias, qui ne peuvent pas se
permettre d'offenser leurs annonceurs. Et nous ne devons rien aux politiciens.
Nous sommes protégés par
la liberté de la presse : nous pouvons donc être parfaitement – et parfois
brutalement – honnêtes sur ce qui est le plus important pour nos lecteurs.
Je vous contacte
aujourd'hui parce que j'ai un grave avertissement à vous transmettre :
Nous avons atteint un
point de bascule.
Vous l'avez sans doute
remarqué aussi : partout dans le monde – aux Etats-Unis, au Moyen-Orient, en
Europe et même dans notre pays – la situation est en train de se muer en une
véritable cocotte-minute financière, culturelle et démographique.
Nous le constatons avec
les émeutes et les manifestations qui se multiplient...
Avec les grèves à
répétition qui empêchent notre pays de fonctionner, pèsent sur la croissance et
endommagent notre réputation dans le reste du monde...
Avec les attentats et les
violences terroristes qui émaillent désormais régulièrement là Une de nos
journaux, de Paris à Londres en passant par Nice ou le Canada...
Avec la montée du
sentiment d'insécurité dans nos villes...
Avec l'afflux d'immigrés
qui s'amassent à nos portes, fuyant des pays en guerre...
Tout cela, nous dit-on,
est de la faute de l'Union européenne... ou de Donald Trump... ou d'Emmanuel
Macron... ou du réchauffement climatique... ou que sais-je encore.
En réalité, ces situations
sont surtout une question d'argent... et de désespoir.
Vous entendrez sans doute
la presse grand public et les politiciens se gargariser de grands discours sur
les "inégalités", en faisant référence aux problèmes sociaux et à la
polarisation politique croissante en France, en Europe et dans le reste du
monde.
Ce qu'ils ne vous disent
pas, c'est que la disparité croissance entre les riches et les pauvres n'est
qu'un symptôme de notre problème... pas sa racine.
Oui, aujourd'hui les 62 personnes
les plus riches du monde ont plus que les 50% les plus pauvres – réunis !
Et en regardant le
graphique ci-dessous, vous constaterez que les pauvres le sont de plus en
plus... tandis que les plus riches voient leur patrimoine continuer sa hausse. Les
62 personnes les plus riches du monde valent plus que les 50% les plus pauvres
Alors quel est le
véritable problème ?
Eh bien, ce n'est pas
qu'un petit nombre de personnes se sont enrichies.
Le vrai problème, c'est
comment elles se sont enrichies. Je vous expliquerai ce secret dans une petite
minute.
Comment les gigantesques
gains de quelques-uns se sont faits directement aux dépens de la classe moyenne
C'est exactement ce qui
nourrit la colère, la radicalisation et le racisme croissant dans nos sociétés.
Voyez-vous, pendant que
les riches deviennent plus riches, tous les autres perdent du terrain.
Regardez ce graphique, qui
montre que pour la plupart des Français, les revenus stagnent ou chutent depuis
des années maintenant...
Evolution du revenu brut
disponible en France (en %)
Et le taux de pauvreté,
après avoir plongé dans les années 1990/2000, est reparti à la hausse,
s'envolant même ces dernières années :
Comment s'étonner de la
montée de la précarisation et de la pauvreté, dans un pays où le chômage n'est
pas retombé sous les 7% depuis 1983 ?
D'autant que... on peut
compter sur nos autorités pour aggraver la situation. Nous sommes déjà
vice-champions du monde en termes de fiscalité... et ce n'est pas fini !
Le gouvernement actuel
donne d'une main – "suppression" de la taxe d'habitation et de l'ISF
– pour reprendre de l'autre.
Selon le cabinet d'audit
et de conseil Ernst&Young, M. Macron a créé pas moins de 8 nouveaux impôts
et taxes depuis son arrivée au pouvoir.
Pas grand'chose,
considérant les 28 nouvelles mesures d'imposition créées par M. Hollande dès
ses débuts en tant que président... mais notez bien que ces nouvelles mesures
viennent s'ajouter aux précédentes.
Pas question d'alléger le
fardeau : il s'agit surtout d'en redistribuer un peu les charges pour que la
bête – c'est-à-dire vous – puisse continuer à avancer sans trop tituber. Car
c'est bien vous qui êtes en première ligne de ces innovations
fiscales qui viennent
ronger votre pouvoir d'achat et d'épargne :
- Augmentation de la CSG
- Alourdissement des
impôts sur l'immobilier
- Augmentation des taxes
sur le gaz et l'essence
- Taxe sur les métaux
précieux
Tout est fait pour que
l'épargnant, le retraité, l'investisseur, crachent au bassinet le plus possible.
Et cela a une conséquence
gravissime :
La classe moyenne – la
partie la plus stable, politiquement et économiquement, de notre société – est
en train de disparaître.
La fondation de la classe
moyenne en France a été une longue histoire de hausse régulière des salaires.
Pour des millions de
Français, la vie s'est améliorée petit à petit, année après année, alors que le
montant des salaires augmentait et que l'économie se développait.
Ce n'est plus le cas.
La France a dégringolé au
palmarès mondial, passant de quatrième puissance mondiale à... septième :
l'Inde est désormais devant nous !
Comme le montre ce
graphique de l'INSEE, notre revenu est en baisse notable : Parallèlement, notre pouvoir d'achat
dégringole : Non seulement vous ne gagnez pas plus d'argent... mais en plus,
vos revenus ne vous permettent plus de vivre aussi bien qu'avant.
Et là-dessus... le
gouvernement vient en plus ponctionner une part croissante de ce que vous
gagnez ! Pas étonnant que les Français soient aussi en colère et stressés.
Ils travaillent, année
après année... mais au lieu de pouvoir profiter de leur argent... investir pour
leur maison ou leurs enfants... épargner pour leur retraite...
... non seulement leur
niveau de vie baisse mais en plus l'Etat ponctionne une part croissante de
leurs revenus pour financer ses gabegies, les laissant pieds et poings liés
face aux aléas de l'existence.
Or cette situation est sur
le point de s'aggraver considérablement – parce que la France n'est plus libre
de ses mouvements.
Toutes mes recherches le
prouvent :
La prochaine crise se
rapproche
Si vous connaissez déjà un
peu mon travail, vous savez que je ne fais pas ce genre de prévision à la
légère :
... Le 10 mars 2000, nous
avons averti que la fin était proche pour la bulle des dot.com.
Le jour même, le NASDAQ
commençait un plongeon de 77% qui a duré deux ans...
... La même année, nous
avons émis notre "Transaction de la Décennie" : achetez de l'or,
vendez les actions.
L'or entama une
progression stratosphérique de 571%... tandis que les actions perdaient 24% aux
Etats-Unis et près de 50% en France...
Dix ans plus tard, les
médias annonçaient que l'or était le meilleur investissement des années 2000...
... Le 7 mars 2005, nous
avons averti que l'immobilier américain allait s'effondrer...
... Et les incidents et
alertes se multiplièrent jusqu'au début "officiel" de la crise, en
2007.
J'annonçais
personnellement, le 29 janvier 2010, que les pays du sud de l'Europe représentaient
un danger considérable pour la Zone euro.
Quelques mois plus tard,
la Grèce était la première à plonger, entraînant les marchés européens dans le
chaos.
A chaque fois, avec nos
équipes, j'ai aidé nos lecteurs à protéger leur argent et à le faire fructifier.
Mon avertissement,
aujourd'hui, est lié à ce qui se passe en France actuellement... mais aussi à
la situation de l'Italie, de l'Espagne, de la Grèce, de la Turquie... et de
bien d'autres.
Partout dans le monde, des
crises éclatent. L'économie craque par tous les bouts.
Les populations,
appauvries, exaspérées, sont sous tension.
Les autorités financières
et politiques sont à bout de ressources... et désespérées.
Si j'ai raison, si elles
ont bien recours à l'ultime arme économique dans les mois qui viennent... les
secousses auxquelles nous avons assisté ces derniers mois ne sont rien à côté
de ce qui nous attend en mai 2019 (ou peut-être même plus tôt, comme nous le
verrons dans quelques lignes).
Et cela pourrait commencer
en Europe...
Qui souffrira le plus ?
Les problèmes toxiques des
banques grecques, italiennes, espagnoles se sont lentement mais inexorablement
répandus.
De banque en banque...
puis de pays en pays... devenant toujours plus gros, toujours plus ingérables.
D'abord, ce n'était que les
petites banques comme les cajas espagnoles. Puis ce sont des banques
systémiques qui ont fait faillite, comme la Banco Popular italienne.
En 2012, ce sont de petits
Etats comme la Grèce et Chypre qui luttaient.
Aujourd'hui, c'est
l'Italie et l'Espagne qui font les gros titres.
Combien de temps avant que
la France les rejoigne ?
Et tout cela fait partie
du même problème.
Un problème dont
l'intensité augmente depuis des décennies.
Un problème qui n'a qu'une
seule issue logique.
J'aime autant vous
prévenir tout de suite : ce que vous allez lire a des implications effrayantes
pour les Français.
La pression sur notre
société et sur les marchés financiers pourrait être extrême – et la solution
mise en place pour y remédier sera pire encore.
Je vous dirai dans
quelques lignes pourquoi c'est vous qui souffrirez le plus si ce scénario se
réalise.
Je vous montrerai aussi
comment faire pour que vous et vos proches traversiez la crise imminente en
toute sécurité.
La pression monte depuis
des décennies – et elle est autant financière que sociale.
Pour comprendre, il faut
se souvenir que le système économique et politique européen tel qu'il a été
conçu après la Guerre froide avait pour but de faire deux choses :
1) Encourager la
croissance économique... et
2) favoriser l'intégration
politique.
Cela a été un échec
complet sur les deux fronts.
Ignorez la rhétorique de
nos dirigeants.
Ignorez les données bidon
et les statistiques bidouillées.
Regardez ce qui se passe
sur le terrain – et les faits sont limpides : l'Europe du sud traverse une
dépression désastreuse.
En Italie, cinq récessions
depuis les années 90 – sans parler de la crise de 2008 – ont réduit en miettes
l'économie italienne. Le chômage n'est pas redescendu sous les 10% depuis 2012,
et le chômage des jeunes dépasse les 30%.
Les ratios de dette
gouvernementale sont tout aussi cauchemardesque. La dette italienne représente
désormais 132% de son PIB – pile le niveau où la Grèce a commencé à avoir des
problèmes.
En Espagne, la situation
est tout aussi lamentable. Le nombre de sans-abris a augmenté de 20% depuis
2014.
Dans certaines régions du
pays, le chômage des moins de 25 ans atteint le chiffre incroyable de 63% – une
pression terrible pour la société.
Au Portugal – où les
choses sont censées aller en s'améliorant – la dette représente encore 146% du
PIB. Le système bancaire reste étouffé sous les mauvaises dettes – près de
quatre fois la moyenne européenne.
Même histoire en Grèce.
L'économie a été divisée par plus de deux par la crise de 2008. La dette
publique représente encore plus de 300 milliards d'euros. Le chômage des jeunes
dépasse les 40%.
L'euro n'a pas encouragé
la croissance. Il a détruit la richesse et le statut de l'Europe du sud – et a
ruiné la vie de millions de personnes.
Les forces économiques qui
écrasent l'Europe aujourd'hui sont terribles en tant que telles...
... Mais le vrai problème,
c'est l'approche européenne, son principe "la même chose pour tout le
monde", qui mène à la désintégration financière ET sociale de la classe
moyenne.
Le projet européen n'a PAS
mené à plus de stabilité et d'intégration.
La Grande-Bretagne a déjà
choisi de partir.
En Italie, des politiciens
anti-establishment sont au pouvoir.
En France, au Pays-Bas, en
Allemagne, en Autriche, en Suède et en Hongrie, les partis anti-Europe gagnent
en popularité.
Pour l'instant, une chose
me saute aux yeux : les gens en ont ASSEZ.
La bombe à retardement est
enclenchée... et la mèche est désormais très courte.
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