vendredi 4 octobre 2019

Monde parallèle

 : Macron conteste le mot "pénibilité" car... "ça donne le sentiment que le travail serait pénible"
Par Louis Nadau - 04/10/2019.

En déplacement à Rodez ce mardi 3 octobre pour défendre la réforme des retraites, le président de la République a expliqué ne pas "adorer" le terme de "pénibilité", "parce que ça donne le sentiment que le travail serait pénible".

Qu'ils sont douillets, ces prolos…

© Gael Kerbaol / INRS - Ramassage en fin de nuit des ordures ménagères par des rippeurs

Venu lancé sa consultation sur la réforme des retraites ce jeudi 3 octobre à Rodez, dans l'Aveyron, le président de la République, Emmanuel Macron, s'est fendu d'une nouvelle sortie sur le monde du travail, au mépris complet de la réalité quotidienne de millions de Français.

© Emmanuel Grimault / INRS - Travailleurs équipés de protection individuelle remplissant un camion-citerne avec des produits dangereux

Après l'épisode du "costard", des "fainéants", des "illettrés", voici venue une nouvelle leçon jupitérienne, cette fois lexicale :

© Patrick Delapierre / INRS - Utilisation d’outil vibrant sur un chantier

"Moi j'adore pas le mot de pénibilité, parce que ça donne le sentiment que le travail serait pénible", a déclaré le chef de l'Etat devant les 500 personnes venues assister au "show" Macron, organisé sur un mode similaire à celui du Grand débat national.

Vidéo

"Il y a des conditions de travail qui ne sont pas les mêmes", a reconnu le président de la République.
"Il y a des risques au travail qui ne sont pas les mêmes, quand on travaille de nuit, ce n'est pas pareil, quand on est exposé à des risques chimiques, quand on est exposé à des activités qui provoquent des troubles musculo-squelettiques, il est normal qu'on ait des 'bonus', qu'on prenne sa retraite plus tôt", a-t-il assuré, détaillant le fonctionnement du nouveau système universel de retraite.

© Patrick Delapierre / INRS  - Opération de maintenance dans une posture de travail contrainte

Travailler avec des produits toxiques ou avoir le dos esquinté à la fin de sa carrière : aux yeux d'Emmanuel Macron, tout cela ne serait donc pas "pénible".

© Gael Kerbaol / INRS - Alimentation d’une chaîne pour les opérations de découpe de volailles après abattage

En pleine campagne présidentielle, l'ex-banquier d'affaires avait déjà fait le coup, devant les représentants de la Confédération des petites et moyennes entreprises :
"Je n’aime pas le terme [de pénibilité] donc je le supprimerai.
Car il induit que le travail est une douleur", avait-il déjà expliqué.
Drôle d'enseignement philosophique, venant de l'ancien assistant de Paul Ricœur : si la réalité ne vous plait pas, niez-la.

70 % DES OUVRIERS SUBISSENT AU MOINS UN FACTEUR DE PÉNIBILITÉ

 N'en déplaise au président de la République, une étude de la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) de 2016 montrait bel et bien que 69,7 % des ouvriers étaient quotidiennement exposés à au moins un facteur de pénibilité.

C'était également le cas pour 35,7 % des employés, 24,4 % des professions intermédiaires, et seulement 12,2 % des cadres.

La même enquête montrait que 26 % des ouvriers subissaient au moins trois facteurs de pénibilité, contre 0,5 % des cadres.

L'Insee relevait quant à lui, également en 2016, un écart moyen d'espérance de vie à 35 ans de 6,4 années entre un homme ouvrier et un homme cadre.

Quant aux femmes, l'écart moyen d'espérance de vie entre une ouvrière et une cadre était de 3,2 années.
"Ceux qui ne sont rien" en apprécieront d'autant plus cette nouvelle sortie…
……………………….
Pénibilité au travail : facteurs de risque définis par le Code du travail

Contraintes physiques marquées

Manutentions manuelles de charges, c’est-à-dire toute opération de transport ou de soutien d’une charge dont le levage,
- la pose, la poussée, la traction, le port ou le déplacement, qui exige l’effort physique d’un ou de plusieurs travailleurs

Postures pénibles définies comme positions forcées des articulations
Vibrations mécaniques transmises aux mains et aux bras et celles transmises à l’ensemble du corps

Environnement physique agressif

Agents chimiques dangereux, y compris les poussières et les fumées
Activités exercées en milieu hyperbare

Températures extrêmes - Bruit - Rythmes de travail

Travail de nuit sous certaines conditions

Travail en équipes successives alternantes, communément appelé travail posté (comme par exemple les 3 x 8 ou 2 x 12)

Travail répétitif caractérisé par la réalisation de travaux impliquant l'exécution de mouvements répétés, sollicitant tout ou partie du membre supérieur, à une fréquence élevée et sous cadence contrainte








jeudi 3 octobre 2019

La valse à trois temps

 : des fossoyeurs de la France, notre patrie
Par les généraux Antoine Martinez et Christian Piquemal

Le discours d’Eric Zemmour, prononcé lors de la convention de la droite et diffusé en direct sur la chaîne d’information LCI, a suscité selon les médias près de 400 saisines auprès du CSA à la suite de « propos xénophobes et islamophobes » exprimés par le polémiste.

C’est le premier temps.


Un certain nombre de journalistes, aux ordres du pouvoir, soumis à l’islam et donc collabos de la destruction de notre héritage, hostiles à Eric Zemmour se scandalisent et lancent l’hallali contre lui.

Parmi eux, ceux de la Société des journalistes (SDJ) du Figaro, l’un de ses employeurs, qui a interpellé la direction du quotidien car ils « ne veulent pas être associés à ses provocations ».

C’est le deuxième temps.


Enfin, le parquet de Paris annonce l’ouverture d’une enquête pour « injures publiques en raison de l’origine ou de l’appartenance ou de la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée » et « provocation publique à la discrimination, la haine ou la violence ».

C’est le troisième temps.


Chacun peut constater l’efficacité et la rapidité de réaction d’un système aux rouages bien huilés pour faire taire les lanceurs d’alerte qui se lèvent pour crier, avec leurs mots propres, une vérité dérangeante et désespérante.

Mais « en France, on laisse au repos ceux qui mettent le feu et on persécute ceux qui sonnent le tocsin ».


Nos élites politiques qui, depuis longtemps ont oublié la France et son peuple n’ayant dans leur bouche que le mot de république, ont choisi d’ouvrir notre patrie à l’islam et ont, malgré l’évidence de son incompatibilité avec la démocratie en raison notamment de sa nature violente, totalitaire et conquérante, baissé les bras devant l’inacceptable.

Général de Villiers

Alors, les déclarations, les propos, les discours qui dénoncent ce laxisme, voire cet accompagnement de l’islamisation criminelle de la France – contre la volonté des Français méprisés et jamais consultés – seraient même, selon certains, nauséabonds !

Mais n’est-ce pas, au contraire, ce laisser-faire, voire cet accompagnement du remplacement de peuple qui est nauséabond, révoltant et à vomir ?

Nos dirigeants sont-ils conscients que sur le plan démographique, une arme redoutable, plus d’un habitant sur cinq et une naissance sur trois sur notre territoire sont déjà d’origine extra-européenne ?

C’est cette ignominie qu’il faut stopper.


Général Christian Piquemal - AFP

C’est cette ignominie qui est à vomir !
Car ce remplacement de peuple en cours n’est pas une théorie ou une idéologie comme certains veulent le faire croire.
Ce n’est qu’un constat.

Les propos tenus par Eric Zemmour dérangent, en effet, mais la « radicalité » exprimée dans son discours révèle, en fait, l’expression d’un instinct de survie poussé à vif et le niveau de désespoir atteint qui est partagé par des millions de citoyens qui souffrent dans le silence, pour l’instant, d’une situation insupportable.

Et sa « radicalité » n’est, finalement, que le miroir d’une réalité qui est, elle, radicale.
C’est cette réalité que ne veulent pas voir tous ces censeurs qui est radicale.
Et ils en sont responsables et coupables.

Car qui sont les responsables des tueries qui ont frappé notre pays ?

Qui est responsable de cet apartheid de certains quartiers évoqué par un Premier ministre alors que ces derniers ont été vidés de ses autochtones par la pression, les menaces et l’impossibilité de vivre ensemble en terre devenue étrangère ?

Qui est responsable de la désertion massive par les juifs des quartiers à forte et récente concentration musulmane ?

Pourquoi un manifeste contre le nouvel antisémitisme a-t-il été signé par 300 personnalités, en 2018, si ce n’est pour dénoncer une épuration ethnique à bas bruit et le silence des médias, les mêmes qui aujourd’hui s’acharnent sur celui qui se dresse pour crier une vérité dérangeante ?

Qui sont ceux qui caillassent nos forces de l’ordre et nos services de secours en intervention et cherchent même à les tuer ?

Qui sont les responsables de ces agressions ou attaques au couteau devenues quasi-quotidiennes avec leur lot de morts et de blessés que l’on cache dans la rubrique des faits divers alors qu’ils sont commis au nom d’une idéologie mortifère ?

 Par ailleurs, qui peut nier la volonté d’afficher sa présence et sa différence culturelle par des pratiques vestimentaires qui ne sont pas les nôtres, sans compter la collaboration des pouvoirs publics dans l’institutionnalisation de pratiques barbares dans l’abattage des animaux avec les risques sanitaires qu’ils impliquent ?

 Il faut bien le dire, la France est aujourd’hui, à l’image de la cathédrale Notre-Dame de Paris, défigurée et martyrisée.

Les propos tenus par Eric Zemmour seraient islamophobes !
Mais tous les patriotes sont islamophobes !
Avec raison !
Car l’islamophobie n’est pas engendrée par des préjugés, par xénophobie ou par racisme.
Non, elle est engendrée par la raison, le bon sens.

Elle est provoquée précisément par la teneur des textes fondateurs de cette religion et par les carnages que leur application radicale produit à travers le monde.

Et le déni de réalité dont se rend coupable l’Etat et les médias soumis, assistés d’associations orientées sur le plan ethno-culturel est grave et criminel car c’est dorénavant l’avenir de la nation et la vie même des citoyens français qu’ils mettent en danger.

A force de ne pas vouloir l’admettre, ils récolteront, pour le malheur de la France et des Français, une libanisation du pays et une guerre contre ceux qui l’envahissent et qui ne cachent pas leur objectif et leur volonté d’instaurer le califat mondial.

C’est pourquoi, devant ce déchaînement d’opprobre et de haine manifesté contre Eric Zemmour parce qu’il ose dénoncer avec ses mots cette dérive qui conduit au drame et ose dire sa vérité, les Volontaires Pour la France et le Cercle des Citoyens Patriotes saluent son engagement pour la défense de notre identité et l’assurent de son entière solidarité et de son total soutien dans ce combat qui nous est commun et qui doit mobiliser tous les patriotes.

La rançon de cette mobilisation contre la soumission c’est d’être catalogué à l’extrême-droite par tous les fossoyeurs de notre France charnelle, ce qui est ridicule.

En réalité, ce sont eux les extrémistes car ils participent à la destruction de la nation.

N’est-ce pas la trahir que de la laisser se fracturer et de ne rien faire contre cette islamisation criminelle ?

C’est notre droit le plus légitime de vouloir défendre notre identité.

C’est notre devoir le plus évident de vouloir affirmer notre droit à la continuité historique de notre peuple.

C’est un droit qui ne peut pas nous être dénié ni nous être contesté par quiconque pour une raison simple : le droit de défendre son identité est un droit de l’homme ; le droit de défendre son identité fait partie des droits de l’Homme.

Général (2s) Antoine MARTINEZ                    Général Christian Piquemal
Président des Volontaires Pour la France     Président du Cercle des Citoyens