Geneviève (née à Nanterre vers 420, morte à Paris vers
500 - 3 janvier 502- ) est une sainte française, patronne de la ville de Paris,
du diocèse de Nanterre et des gendarmes.
La forme issue du latin Genovefa est également employée
et a donné le nom Génovéfain (religieux).
Cliquez sur l'image pour voir le diaporama...
Statue de sainte Geneviève par Pierre Hébert sur la
façade de l'église Saint-Étienne-du-Mont
La source unique de renseignements historiques sur ce
personnage est la Vita de
Geneviève, un texte hagiographique que l'auteur anonyme, probablement un
clerc de l'Église de Paris, prétend écrire 18 ans après la mort de la sainte,
vers 520, ce qui en fait un des très rares monuments littéraires du VIe siècle
en Gaule.
Vitrail de Sainte-Geneviève rencontrant Saint Germain
et saint Loup, Saint-Julien-du-Sault.
Cette hagiographie génovéfaine Vita sanctae Genovefa
empreinte de merveilleux et qui ne contient aucune chronologie est réalisée par
un clerc qui a rassemblé tout ce qu'il savait d'elle par des témoins directs
encore vivants.
Page du manuscrit de la Vita Martini par
Sulpice-Sévère.
L'abbé Saint-Yves, dans sa Vie de sainte Geneviève, donne
une origine celtique au nom de Geneviève (Genovefa).
Châsse de sainte Geneviève dans l’église
Saint-Étienne-du-Mont.
Selon lui en gallois, genoeth veut dire « jeune fille »
(cf. gaulois genata et en breton genoù est le mot qui désigne la bouche et eff
« ciel », genoueff signifierait « bouche du ciel », composé dont on ne comprend
guère le sens, en outre les mots courants pour désigner le ciel en breton sont
oabl (var. -br, ebr) et neñv (religieux) et ne conviennent pas phonétiquement.
Sarcophage de sainte Geneviève dans l’église
Saint-Étienne-du-Mont.
Le nom Genovefa est vraisemblablement la latinisation du francique
*Kenowīfa ou *Kenuwefa, nom germanique féminin constitué des éléments ken- «
genre, race » (apparenté à kin en anglais) et wīf « femme » (apparenté à wife
en anglais et Weib en allemand).
Manuscrit de la Légende dorée de Jacques de Voragine
(xiiie siècle).
Les historiens ont maintes fois débattu des origines
sociales de la sainte.
Les biographes Dom Jacques Dubois et Laure
Beaumont-Maillet ont tranché le débat :
Geneviève, issue d'une riche famille de l'aristocratie
gallo-romaine, est la fille unique de Severus (nom latin signifiant « austère
»), probablement un Franc romanisé qui après une carrière d'officier, a exercé
la fonction de régisseur de terres d'Empire, et de Geroncia (ou Gerontia, nom
grec « désignant une personne sage par l'âge et les vertus »).
Sainte Geneviève qui tient de la main droite un cierge
et de la main gauche un livre.
Elle aurait hérité en tant que fille unique de la charge
de membre du conseil municipal (curia) détenue par son père, charge qu’elle
aurait exercée tout d’abord à Nanterre, puis à Paris (faisant partie des dix
principales constituant l'aristocratie municipale) après son installation dans
cette ville chez une « marraine » influente.
Sainte Geneviève en bergère.
Baptisée, elle se voue très jeune à Dieu et, selon la
légende, est remarquée par saint Germain d'Auxerre
et saint Loup de Troyes,
qui passent par Nanterre vers 430 (légende à l'origine de l’église
Saint-Germain-de-Charonne), à l'occasion de leur voyage vers la province romaine de
Bretagne (Grande-Bretagne
actuelle).
Sculpture en bois polychrome datée du XVe siècle
(Église Saint-Germain-l'Auxerrois de Paris)
Elle mène une vie consacrée et ascétique, probablement
dès ses seize ans.
Selon la Vita sanctae Genovefae, à l'âge de 18 ou 20 ans,
elle reçoit à Paris le voile des vierges des mains de l'évêque Wllicus, prélat
inconnu des historiens.
« Saint Loup », début XVIe s., calcaire, 132x52 cm,
porche de l'église de la Nativité, Noës-près-Troyes (Aube)
À la mort de ses
parents vers 440, elle quitte Nanterre et vient s'établir chez sa marraine
Procula en plein Paris, dans l'île de la Cité.
Sainte Geneviève dans la série des Reines de France et
Femmes illustres du jardin du Luxembourg.
Selon la tradition, lors du siège de Paris en 451, grâce
à sa force de caractère, Geneviève, qui n’a que 28 ans, convainc les habitants
de Paris de ne pas abandonner leur cité aux Huns.
Elle encourage les Parisiens à résister à l’invasion par
les paroles célèbres :
« Que les hommes
fuient, s’ils veulent, s’ils ne sont plus capables de se battre. Nous les
femmes, nous prierons Dieu tant et tant qu’Il entendra nos supplications. »
Une autre hypothèse controversée prétend qu'elle aurait
averti l'envahisseur d'une épidémie de choléra sévissant dans la région.
Loup et Piméniole sont mariés par saint Hilaire
d'Arles, frêre de Piméniole.
Enfin, par ses liens avec les Francs, intégrés au
dispositif romain, elle aurait pu savoir qu'Attila voulait s'attaquer d'abord
aux Wisigoths en
Aquitaine, et ne voulait sans doute pas perdre du temps devant Paris.
Dans tous les cas, le plus important était d'empêcher les
Parisiens de risquer leur vie en fuyant.
En 465, elle s'oppose à Childéric Ier, qui
entreprend le siège de Paris, en parvenant à ravitailler plusieurs fois la
ville avec du blé de la Brie et de Champagne, forçant alors le blocus.
La Gaule juste avant la mort de Childéric Ier
Elle fait bâtir une église sur l'emplacement du tombeau
de saint Denis,
premier évêque de Lutèce.
Elle convainc également Clovis, dont elle a
toujours été une partisane, de faire ériger une église dédiée aux saints Pierre et Paul sur le mont
Lucotitius (qui porte aujourd'hui le nom de montagne
Sainte-Geneviève), dans l'actuel Ve arrondissement de Paris, au cœur du
Quartier latin.
Trésor de Gourdon, patène Trésor découvert près de
Gourdon (Saône-et-Loire), en 1845. Or, turquoise et grenats cloisonnés, fin du
Ve-début du VIe siècle.
Si l'historiographie récente avance une date de mort le 3
janvier 502, la tradition préfère celle du 3 janvier 512.
Selon la Vita, elle meurt à l'âge de 89 ans dans l'ermitage
de Paris, et est enterrée dans cette même église aux côtés de Clovis et
rejointe plus tard par la reine Clotilde, ses plus célèbres disciples.
L'église est d'abord confiée à des bénédictins, puis à
des chanoines séculiers : c'est l'abbaye
Sainte-Geneviève de Paris, dont le clocher est encore visible dans
l'enceinte du lycée Henri-IV (ce clocher est connu sous le nom de « tour Clovis
»).
L'abbaye sur le Plan de Truschet et Hoyau (1550).
Sainte patronne
Sainte patronne de Paris et du diocèse de Nanterre,
Geneviève est fêtée le 3 janvier.
La Gendarmerie nationale, dont elle est également la
sainte patronne, la fête, quant à elle, le 26 novembre, date du « Miracle des
ardents » : en rapport avec l'intoxication par le seigle qui sévit à Paris en
1130.
Elle a une homonyme : sainte
Geneviève de Loqueffret, une sainte bretonne que l'on fête aussi le 3
janvier comme son illustre patronne.
Elle est invoquée pour les règles abondantes ou les
périodes menstruelles prolongées chez la jeune fille vierge.
Châsse de sainte Geneviève
Selon la tradition, le tombeau de sainte Geneviève est
placé auprès de celui de Clovis dans la crypte de l’église
Saint-Pierre-Saint-Paul (future abbaye Sainte-Geneviève de Paris), construite
par le roi des Francs.
Vers 630, saint Éloi orne le
sarcophage de pierre de la sainte de plaques d'or, finement ciselées, et de
pierres précieuses.
La châsse est évacuée vers Draveil lors de la première
invasion des Normands en 845. Elle y reste jusqu’en 853.
Siège de Paris par les Vikings. Les remparts figurant
sur cette gravure tardive n'existaient pas à l'époque.
La première procession connue a lieu en 886 lors du siège
de Paris.
En janvier 1162, court la rumeur que des réformateurs de
l'abbaye ont dérobé le chef de sainte Geneviève en le séparant du reste de ses
reliques.
Louis
VII fait apposer sur la châsse le sceau royal et ordonne une enquête
solennelle.
Le résultat de cette enquête rassure tout le monde et le
chapitre décide que désormais le 10 janvier serait une fête célébrée avec
autant de solennité que le 3, sous la dénomination d'Invention du chef de
Sainte Geneviève.
Le roi Louis VII part en croisade.
En 1230, ce coffre est endommagé à un tel point que
l'abbé Robert de la Ferté-Milon confie l'exécution d'une nouvelle châsse en
vermeil par l'orfèvre parisien Bonnard, de 1240 à 1242.
Elle est reconstruite en 1614, sous la régence de Marie de Médicis.
Le port de la châsse est dévolu à l'origine aux
Génovéfains.
En 1412, une confrérie de Sainte Geneviève est érigée en
vertu d'un bref du Pape et de lettres patentes de Charles VI
qui finance les processions.
Cette Confrérie accueillant par cooptation les membres
éminents des grandes corporations de la ville, obtient en 1524 le privilège de
porter la châsse.
Le 8 novembre
1793, la châsse de la sainte est transportée à la Monnaie où l'on fond les
métaux précieux, tandis qu'on récupère les pierreries.
Le 21 novembre, le
Conseil général de Paris fait brûler les ossements de la sainte sur la place de
Grève et fait jeter les cendres à la Seine.
La nouvelle châsse en cuivre entaillé et doré, honorée
aujourd'hui dans l’église Saint-Étienne-du-Mont
près du Panthéon,
contiendrait quelques reliques (un avant-bras et quelques phalanges) qui
avaient été envoyées dans d’autres sanctuaires avant la Révolution et qui ont
ainsi pu être préservées des destructions.
L'abbaye et l'église sur une gravure dans Topographia
Galliæ, xviie siècle, bibliothèque Carnegie (Reims).
Bien que la châsse n'ait pas été portée
processionnellement à l'extérieur depuis le XVIIIe siècle, la Confrérie des
Porteurs de la châsse existe toujours, son rôle se bornant à la porter dans
l'église même, au moment de la neuvaine.
Le chœur, légèrement désaxé, caché par le magnifique
jubé.
Le culte de la sainte, très populaire, explique qu'elle
possède dans l'église plusieurs châsses, dont la plus grande qui contiendrait
la pierre tombale de la sainte redécouverte en 1803 lors de la démolition de
l'église Sainte-Geneviève.
Iconographie
Jusqu'au XVIe siècle, Geneviève est représentée vêtue
d'une robe de jeune fille noble, tenant à la main un cierge qu'un démon souvent
essaie d'éteindre (en souvenir de la construction de la première basilique de
Saint-Denis, dont elle visitait le chantier, de nuit, avec ses compagnons.
Alors que le cierge que tient l'un deux s'éteint
brusquement, elle le prend en main et il se rallume miraculeusement).
À la fin du XVIe siècle, elle est représentée en jeune
bergère entourée de moutons, peut-être par confusion avec Jeanne d'Arc et les
représentations de vierges pastourelles.
Cette légende qui fait de Geneviève une bergère date du
succès du poème latin de Pierre de Ponte paru en 1512, puis de la mode des
bergeries qui se manifeste au XVIIe siècle.
Loup sauve la ville de Troyes face à Attila.
De nombreuses lithographies popularisent dans les
chaumières la « bergère de Nanterre » au temps de la Restauration et de la
Monarchie de Juillet.
Au XIXe siècle, Pierre Puvis de Chavannes consacre un
cycle de peintures à l'enfance de Geneviève (1874) au Panthéon de Paris.
En 1928, Paul Landowski réalise une statue de sainte Geneviève
pour le pont de la Tournelle, qui traverse la Seine à Paris.
En 1945, Anna Quinquaud réalise une statue de Sainte
Geneviève, aujourd'hui conservée à la Direction générale de la Gendarmerie
nationale, Issy-les-Moulineaux.
Littérature
Plusieurs œuvres littéraires évoquent le personnage ou la
vie de sainte Geneviève :
Le vendredi 3 janvier 1913, pour le 1400e anniversaire de
sa mort, Charles Péguy écrit un poème intitulé La Tapisserie de sainte
Geneviève et de Jeanne d'Arc [archive].
Elizabeth Brun, La vie de Sainte Geneviève, Patronne de
Paris, biographie, Editions Mégard et Cie, Rouen, 1855.
Henri Lavedan, La belle histoire de Geneviève, roman
dialogué, Société littéraire de France, Paris, 1920, 289 pages.
Mgr Yvon Aybram, Petite vie de sainte Geneviève
(421-502), Desclée De Brouwer, 2013
Musique
Marc-Antoine Charpentier a composé vers 1675 un motet
Pour le jour de Ste Geneviève H 317 pour 3 voix, 2 dessus instrumentaux, et
basse continue.
Notes et références
↑ Emmanuel Bourassin, Sainte Geneviève, Éditions du
Rocher, 1997, p. 12.
↑ Jacques Dubois (O.S.B.), Laure Beaumont-Maillet, Sainte
Geneviève de Paris : la vie, le culte, l'art, Beauchesne, 1982, p. 8-13.
↑ Emmanuel Bourassin, Sainte Geneviève, Éditions du
Rocher, 1997, p. 29.
↑ Albert Dauzat (préface de Marie-Thérèse Morlet), Noms
et prénoms de France, éditions Larousse 1980, p. 314 ab.
↑ Emmanuel Bourassin, Sainte Geneviève, Éditions du
Rocher, 1997, p. 30.
↑ Joël Schmidt, Sainte Geneviève, Perrin, 1999, (ISBN
2-262-00742-X) ; Jeanine Hourcade, Sainte Geneviève hier et aujourd’hui,
Médiaspaul, 2005, p. 44. (ISBN 978-2712206901).
↑ Janine Hourcade, Sainte Geneviève hier et aujourd'hui,
Mediaspaul Editions, 1998, p. 31.
↑ D'où la désignation excessive de « premier maire de
Paris » par la romancière Geneviève Chauvel. cf. Geneviève Chauvel, Sainte
Geneviève, première maire de Paris, Archipel, 2017, 256 p..
↑ a et b
Kate Cooper The Fall of the Roman Household, Cambridge University Press, 2007
(ISBN 978-0521884600), chap. 1.
↑ Michel Rouche, Bruno Dumézil (collectif), Le Bréviaire
d'Alaric - Aux origines du Code civil, PU Paris-Sorbonne, 2008, Cultures et
civilisations médiévales p. 15. (ISBN 978-2-84050-606-5).
↑ Martin Heinzelmann, Joseph-Claude Poulin, Les vies
anciennes de sainte Geneviève de Paris, Études critiques 1986.
↑ Simon Lacordaire, Vie et histoire du XXe arrondissement
: Belleville, Charonne, Père Lachaise, Saint-Fargeau, Hervas, 1987, p. 103.
↑ Jean-Pierre Soisson. Saint Germain d'Auxerre - Évêque,
gouverneur et général [archive]. Éditions du Rocher, 2011, 222 pages. (ISBN
2-268-07053-0 et 978-2-268-07053-7).
↑ Emmanuel Bourassin, Sainte Geneviève, Éditions du
Rocher, 1997, p. 35.
↑ Emmanuel Bourassin, Sainte Geneviève, Éditions du
Rocher, 1997, p. 36.
↑ Alfred Fierro, Histoire et dictionnaire de Paris, Éd.
Robert Laffont, 1996, p. 11-14.
↑ D'après Léon Fleuriot, Riothime, un Breton, fut roi des
Bretons armoricains et des Francs durant le recul de Childéric. Les Armoricains
auraient protégé Paris de l’assaut des Francs.
↑ Yvan Combeau, Histoire de Paris, Presses Universitaires
de France, 2016, p. 43.
↑ Janine Hourcade, Sainte Geneviève hier et aujourd'hui,
Mediaspaul Editions, 1998, p. 42.
↑ Sainte Geneviève sur le site de l'aumônerie de la
gendarmerie [archive]
↑ Miracle des ardents [archive]
↑ Sainte-Geneviève, patronne des gendarmes [archive],
dans Courrier de Mantes.
↑ Jacques Baudoin, Grand livre des saints : culte et
iconographie en Occident, Éditions CRÉER, 2006, p. 238.
↑ Jacques Dubois (O.S.B.), Laure Beaumont-Maillet, Sainte
Geneviève de Paris : la vie, le culte, l'art, Beauchesne, 1982, p. 83.
↑ Pour les pèlerins, de hautes perches étaient destinées
à l'accrochage d'un vêtement de malade pour en obtenir la guérison par un
contact avec la châsse. Cf. Catherine Rollet-Echalier, L'Abbaye royale
Sainte-Geneviève au Mont de Paris: actuel lycée Henri IV, A. Sutton, 2005, p.
66.
↑ Auguste Vidieun, Sainte Geneviève, patronne de Paris et
son influence sur les destinées de la France, Firmin-Didot, 1884, p. 269.
↑ Jacques Dubois (O.S.B.), Laure Beaumont-Maillet, Sainte
Geneviève de Paris : la vie, le culte, l'art, Beauchesne, 1982, p. 106.
↑ Annales archéologiques, Édouard, Adolphe Napoléon Didron,
tome 8, page 261, Paris, 1848.
↑ Paul Guérin, Les petits Bollandistes vies des saints de
l'Ancien et du Nouveau Testament, Bloud et Barral, 1882, p. 102.
↑ Jacques Dubois (O.S.B.), Laure Beaumont-Maillet, Sainte
Geneviève de Paris : la vie, le culte, l'art, Beauchesne, 1982, p. 107.
↑ « Les reliques de Sainte Geneviève » [archive], sur
sainte-genevieve.net (consulté en 2017).
↑ Nathalie Jacquin, Sainte-Geneviève et ses images, essai
d'iconographie, Ecole du Louvre, 1946, 52 p..
↑ Christophe Renault, Reconnaître les saints et les
personnages de la Bible, éditions Jean-Paul Gisserot, 2002, p. 10.
↑ Charles Kohler, Etude critique sur le texte de la vie
latine de Sainte Geneviève de Paris, F. Vieweg, 1881, p. 8.
↑ Emmanuel Bourassin, Sainte Geneviève, Éditions du
Rocher, 1997, p. 154.
Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
Geneviève de Paris, sur Wikimedia Commons
Bibliographie
Dom Jacques Dubois et Laure Beaumont-Maillet, Sainte
Geneviève de Paris : la vie, le culte, l'art, Beauchesne, 1982, 167 p. (lire en
ligne [archive])
Face aux barbares, sainte Geneviève (423-502), Pierre
Téqui éditeur, 2001
Emmanuel Bourassin, Sainte Geneviève, Editions du Rocher,
1997
Janine Hourcade, Sainte Geneviève hier et aujourd'hui,
Mediaspaul Editions, 1998, 111 p. (lire en ligne [archive])
Articles connexes
Sanctoral catholique romain
Cathédrale Sainte-Geneviève-et-Saint-Maurice de Nanterre
Génovéfains
Liens externes
Notices d'autorité : Fichier d’autorité international
virtuelInternational Standard Name IdentifierBibliothèque nationale de France
(données)Système universitaire de documentationGemeinsame NormdateiBibliothèque
royale des Pays-BasBibliothèque nationale tchèque
la-france-orthodoxe.net [archive]
Photo de l'église Sainte-Geneviève à Bordeaux [archive]
Site de sainte Geneviève [archive]
La vie de sainte Geneviève écrite en latin 18 ans après
sa mort et la neuvaine [archive]
Sainte Geneviève face à Attila [archive], interview vidéo
de l'historien Michel Rouche, auteur de Attila, la violence nomade (Fayard
2009).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Votre commentaire est le bienvenu à condition d'être en relation avec le sujet - il sera en ligne après accord du modérateur.
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.