La notion de
royauté n’a rien perdu de son actualité dans nos démocraties occidentales.
En Europe, ce ne sont pas moins de dix États dont le chef
est un prince héréditaire. Dans des régimes maintenant démocratiques, la
fonction princière a pleinement trouvé sa place, au service des populations et
du bien commun.
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Au-delà des partis, la présence d’un roi garantit en
effet la continuité dans le destin d’un pays :
- le respect de son identité profonde,
- la préservation de ses principes fondamentaux,
- la défense de sa langue et son rayonnement dans le
monde entier.
Elle permet également de se détacher de la pression des
lobbies, des media, des biais du système électoral pour exprimer d’une voix
forte la protection des plus faibles, la défense de l’environnement, ou celle
du patrimoine matériel et spirituel.
Une vision de long
terme
Le Prince Jean d’Orléans est né le 19 mai 1965 à
Boulogne-Billancourt. Héritiers des 40 rois qui ont fait la France d’Hugues
Capet à Louis-Philippe, il est le fils d’Henri d’Orléans, comte de Paris, et de
Marie-Thérèse d’Orléans Duchesse de Montpensier. Titré duc de Vendôme en 1987
par son grand père Henri d’Orléans, puis comte de Paris à la mort de son père
en 2019, il est le cousin de nombreuses familles royales européennes.
Avec à peine deux siècles et demi d’existence, notre
jeune démocratie française est parfois aveuglée par l’idéologie du progrès, le
mythe de la mondialisation heureuse, et l’attrait des profits immédiats.
Cet édifice est répertorié dans la base Mérimée, base
de données sur le patrimoine architectural français du ministère de la Culture,
sous la référence PA00097097. photoRenaud d'Avout
Héritier de mille ans d’histoire de la royauté, le comte
de Paris est le garant d’un projet d’ensemble dont la vision politique n’est
pas à l’horizon d’un quinquennat mais des générations futures.
Du côté non pas de l’action qu’on achète et qu’on revend
quelques secondes plus tard, mais de l’arbre que l’on plante pour ses petits-enfants.
Intérieur de la chapelle royale côté entrée. Photo Le
Passant
La protection des
plus faibles
A l’heure d’un monde ouvert, malheureusement à la main
des puissants, le système économique pousse souvent à renoncer à sa
responsabilité sociale afin de maximiser ses profits.
Sainte Adélaïde. Photo Le Passant
Une vision à court-terme qui conduit à une dégradation
des relations humaines et une perte de sens pour ceux qui travaillent.
La royauté au contraire s’est toujours fondée sur la
défense des plus faibles et le souci de justice.
Incarner la France
à l’étranger
En démocratie, les politiques étrangères sont souvent
fluctuantes et remettent en cause des liens durables installés depuis des
siècles entre pays.
Le coquillage-bénitier et le vitrail de saint Arnoult
à l'arrière-plan. Photo Le Passant
La royauté introduit l’idée de permanence.
Le prince, par sa naissance même, incarne la destinée du
pays, mais aussi son Histoire, et l’intérêt de tous les Français, auprès des
pays étrangers.
La force du système héréditaire, c’est que la France n’a
jamais manqué d’un prince prêt à prendre la parole, et assumer ses
responsabilités, par delà les ambitions personnelles.
A l’heure où le peuple perd toute confiance en ses
dirigeants, le rassemblement autour d’un destin commun se fait plus vif, et
cette voix nécessaire.
« Je pense en
prince chrétien, j’agis en prince français »
Le transept nord. Photo Le Passant
Le Prince Jean d’Orléans est né le 19 mai 1965 à
Boulogne-Billancourt.
Héritiers des 40 rois qui ont fait la France d’Hugues
Capet à Louis-Philippe, il est le fils d’Henri d’Orléans, comte de Paris, et de
Marie-Thérèse d’Orléans Duchesse de Montpensier.
Titré duc de Vendôme en 1987 par son grand père Henri
d’Orléans, puis comte de Paris à la mort de son père en 2019, il est le cousin
de nombreuses familles royales européennes.
Les personnages du transept sud. Photo Real politik
Marié depuis 2009 avec Philomena de Tornos y Steinhart,
il est le père de cinq enfants (Gaston, Antoinette, Louise-Marguerite, Joseph
et Jacinthe).
Chapelle de la Vierge, vitraux illustrant la vie de
Saint Louis (n °0, 1 et 2), chapelle royale de Dreux, Eure-et-Loir, France.
Photo Le Passant
Scolarisé à l’école communale de Vétraz-Montoux en
Haute-Savoie, il passe ensuite son baccalauréat chez les Jésuites à Reims.
Il est titulaire d’une maîtrise de Philosophie
(Sorbonne), d‘une maîtrise de Droit (Faculté Libre d’Economie et de Droit de
Paris) et d’un MBA obtenu à Los Angeles.
Crucifixion. Photo Le Passant
Il effectue son service Militaire au 7è Chasseur d’Arras,
comme Aspirant puis Sous Lieutenant commandant un peloton de chars de combats.
Pendant 10 ans, il est consultant chez Lazard Frères,
Deloitte & Touche et aux Banques Populaires.
Statues du roi Louis-Philippe Ier et de son épouse la
reine Marie-Amélie. Photo Real politik
Trilingue, Français, Anglais et Allemand, il a une
passion pour les sports de glisse et pour le cinéma américain.
Il connaît d’ailleurs très bien les Etats-Unis qu’il a
traversés à deux reprises, en Greyhound et en voiture.
En 1999, il devient gérant du Groupement Forestier de la
Thiérache (groupement familial de 2500 hectares), puis actionnaire en 2003.
En 2005, il effectue une expédition en arctique sur les
traces de son arrière grand oncle, le duc d’Orléans, dont le voyage effectué en
1905 avait été d’une haute teneur scientifique.
En 2007, il crée sa propre société, Avenir &
Patrimoine Conseil, pour mettre en valeur le patrimoine Français lié aux rois
et princes de sa famille.
Il effectue des missions de conseil, anime des évènements
et donne des conférences en France et à l’étranger.
En 2009, il est nommé membre d’honneur du Comité
André-Charles Boulle.
En 2010, il est élu administrateur du Comité des Forêts
et en 2011, administrateur des Amis du château d’Eu.
En 2003 il crée l’association Gens de France, dont il est
le président, pour favoriser la relation entre les personnes, contribuer au
bien de la France et à son rayonnement à l’étranger.
Aujourd’hui l’association poursuit plusieurs actions
auprès des jeunes notamment en difficulté en leur faisant visiter des lieux
historiques (Saint Denis, Reims).
En 2009 il publie son premier livre « Un Prince Français
», résultat de 10 ans de déplacements en France, en Europe et dans le Monde,
dont près de 10 000 exemplaires ont été vendus.
Par ailleurs, Monseigneur le comte de Paris est aussi
engagé sur plusieurs autres sujets qui le passionnent : la culture, les
sciences et l’environnement, l’éducation et la francophonie et l’économie sociale.
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