jeudi 14 mars 2019

La conquête de l'Occident :

D’un Islam subversif à la France fourre-tout en passant par le Bataclan, Mayotte, des lois liberticides et scélérates : un droit français schizophrène, une oligarchie sociale-démocrate corrompue.

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Si évoquer la sauvegarde citoyenne de son pays est examiné par les pairs de la République comme une attitude prosélyte à connotation xénophobe, sous-entendu avec des interactions rouge-brun, voire islamophobe, alors plus rien ne nous rattache au postulat de patriotisme.

De surcroît, la simple production d’un vocable ou d’une expression ne bénéficiant pas du sésame politically correct, suffit à son auteur pour qu’il soit derechef honnit, diabolisé et qu’une étrange suspicion défigure irrémédiablement son portrait, avec une étiquette dans le dos.

Réciproquement, eu égard à la transnationalisation du discours des élus sociaux-démocrates, la Da’wah (l’appel aux non-musulmans à se tourner vers l’Islam), procèderait d’une alchimie prophylactique compatible avec la dénégation du nativisme leucoderme judéo-chrétien ; une déchéance du terroir historique de la vieille Europe qu’orchestre insidieusement l’establishment franco-allemand au sein de l’UE.

A contrario, pour éviter de ternir davantage l’image de l’Islam, après le massacre de 90 jeunes gens au théâtre du Bataclan, le pouvoir régalien s’est cru en devoir de dissimuler au public les tortures infligées par émasculation, éventration vaginale, énucléation et décapitation à la façon de Daesh sur des adolescents, par les terroristes à qui il manquait des munitions pour les achever.

Les autres domaines ici traités, dont l’immigration de masse ordonnancée par des énarques serviles au service de la haute finance, des pétromonarchies du Golfe et des consortiums industriels qui gouvernent le monde, procèdent au délabrement moral et à la décadence des démocraties.

Cette déchéance induit le soutien indéfectible à l’Islam, une intrigue emmenée par l’Union sous l’empire d’Angela Merkel et de ses homologues français.

La corruption qui découle, entre le corps politique et ses mécènes banquiers et firmes transnationales, se dérobe aux lois fiscales.

Participent à cette gabegie les émirs en keffieh, lesquels sustentent de bakchichs les comptes offshore des oligarques à la solde des trusts et holdings a-nationaux ; la gouvernance d’un corpus mafieux de zones franches.

Ceux-là cèdent à la tentation d’un panislamisme, vecteur de jobs sous-payés voire dissimulés, que drainent des millions de réfugiés exsangues, mais le Coran en main et parfois une kalachnikov dans l’autre.

Entre concussion et prévarication, quid du patriotisme dans ces paradis fiscaux ?

Ces appétits inextinguibles de pouvoir et dominé par la cupidité, offrent la vitrine de la déliquescence des affairistes empêtrés par les combines les plus glauques, tel Alstom bradé aux Américains pour fait de prévarication.

Quant à la résurgence coloniale de la France en terre d’Islam, ainsi la départementalisation de Mayotte, ce lobbying expansionniste procède d’un assistanat qui verrouille toute velléité d’autonomie.

S’agissant des lois qui annihilent les libertés sous des prétextes sécuritaires devant la montée de l’Islam intégriste, elles se retranchent derrière la sémantique tranquillisante du vocable démocratie, pour mieux flouter de secrètes intentions.

Ainsi, les libertés les plus naturelles, celles du respect de la vie privée, des droits légitimes à l’information et à l’expression sont à présent confisquées par l’exécutif, via le Conseil d’État, à l’aide de logarithmes barbouzes prétendument institués pour assurer la quiétude des citoyens contre un Islam terroriste.

Nonobstant les dégâts, la Commission européenne laisse se déverser à flot sur les territoires de la Communauté autant de réfugiés dits irako-syriens qu’autorisent les conflits dans cette région, mais parmi lesquels s’y incorporent des hordes de migrants économiques et sanitaires depuis la corne d’Afrique, le Maghreb et le Moyen-Orient entre autres candidats que drainent les passeurs locaux, les ONG et réseaux alternatifs d’activistes financés par l’UE.

En proie aux guerres intestines, générées par des querelles confessionnelles entre factions islamiques, cette culture de la belligérance s’importe dans les pays d’accueil. 

Courage, car pour la seule France, « Il y a ± 95 000 demandes d’asile par an, c’est-à-dire une grande ville chaque année » expliqua l’ex-ministre de l’Intérieur Gérard Collomb au micro de RTL le 15 décembre 2017 depuis Tirana en Albanie ! 
Cependant, comme l’avait déjà indiqué en 1981 le Premier ministre Michel Rocard, 
« La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde... encore, faut-il s’y efforcer » ; certes, après avoir naturalisé 130 000 étrangers en situation irrégulière. 
Ceux-là furent derechef remplacés d’autant de ressortissants étrangers qui déferlèrent du tiers-monde, la nature ayant horreur du vide.

Comment le dogme musulman est-il parvenu à survivre, depuis le haut Moyen Âge jusqu’au XXIe siècle, malgré les horreurs que contiennent le Coran et les hadîths ? 

Pourquoi cette secte confessionnelle à dimension transnationale fait-elle recette dans les couloirs onusiens de la diplomatie mondiale, alors que rien ne rattache ce culte à une religion au vrai sens du terme, sinon que les nébuleuses terroristes de l’Islam impriment toute la planète de leurs conflits et actes de barbarie ? 

Pourquoi la société civilisée se laisse-t-elle dévorer de l’intérieur par un raz-de-marée de réfugiés mahométans, sachant que les élus socio-démocrates qui gouvernent le monde savent avec pertinence que ces vagues migratoires souffrent d’une incapacité d’intégration, eu égard à une éducation cultuelle qui leur inculte l’intolérance, la haine et la guerre ? 

En vertu des préceptes obscurantistes de la sharî’a qui administre l’Islam, puis les violences que charrie une morale inversée aux standards laïcs et démocratiques, puis encore face à une idéologie martiale et létale que draine un graal khalifien, comment ce mal peut-il encore survivre en Occident ?

Par Daniel Desurvire

Qui, de l’État ou le peuple, manipule le plus l’information ?
Cette étude se décline ainsi :

1°) Une loi inique contre les fake news qui cuirasse les élus, mais un outil inquisitorial contre la Nation

2°) L’art de prohiber les fausses informations s’insinue par le maniement des consciences

3°) Quand des enfants réfugiés participent aux vraies fausses nouvelles pour entortiller les quotas d’immigrés

4°) Le mensonge d’État, c’est autant occulter l’information que de refuser les réalités




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